Nous en sommes tout à fait conscients. Que vous soyez une start-up ou une PME, vous avez vraiment mieux à faire que de vous occuper de vos contrats. Alors, ne laissez pas ces derniers devenir une charge mentale abominable dans votre quotidien.
Ventes, achats, recrutement, partenariats, etc. Toutes ces activités sont prioritaires. Malheureusement, elles nécessitent d’avoir recours à des contrats. Vous n’y pouvez rien, la vie est ainsi faite.
Dans 95% des cas, le bricolage et les incohérences de vos contrats vont rarement vous faire atterrir devant le juge. Est-ce une raison suffisante de continuer de la sorte ? Bien sûr que non. Vous pouvez faire davantage et surtout, vous méritez mieux.
Alors, comment appliquer la loi de pareto à vos contrats et parcourir les 80% du chemin en faisant 20% d'efforts ? Quels sont les outils qui s’offrent à vous ?
Comme en matière de mode, Angelaw vous propose d’adopter 3 basiques pour toujours être dans le vent.
Nous n’allons pas nous évertuer à lister tous les dangers juridiques que comporte cette mauvaise manie qu'ont de nombreuses startups et PME consistant à télécharger des modèles de contrats douteux sur le web. Nous savons que cela ne va pas réussir à vous convaincre. Par contre, dans une optique de rationalisation des tâches (avouez-le, vous considérez le contrat comme tel), avoir vos propres modèles de contrats est un gain de temps réel.
Le point de départ ? Enumérer tous les accords récurrents que vous signez : il y en a forcément ! Contrats fournisseurs, commerciaux, freelances, etc. La bonne nouvelle c'est qu'au sein des startups et PME, il y en a souvent entre 5 et 10 au maximum.
Faites-vous accompagner d’un professionnel du droit pour les situations occasionnelles et profitez d’Angelaw pour vos contrats du quotidien.
En franchissant cette étape, vous allez avoir accès à :
Bref, plus besoin de fouiller sur Google et croiser les doigts pour que “ça le fasse”. Maintenant, vous pouvez utiliser n’importe quel contrat sans vous poser de questions et vous savez où les trouver !).
Comme pour un meuble Ikea, il faut suivre les étapes du mode d’emploi pour ne pas vous retrouver avec un contrat bancal.
Bien évidemment, nous avons le nom des parties : votre entreprise et l’identité de votre cocontractant. Jusqu’ici rien de compliqué, mais nous vous conseillons de prendre des notes pour la suite :
(i) Les obligations réciproques : détailler correctement ce que chacun doit exécuter avec précision. Parce que “livrer la marchandise” ou “réparation”, c’est un peu léger quand la situation s'envenime. Toujours mentionner la quantité, l’étendue exacte des engagements de part et d’autre, les échéances à respecter que ça soit pour le paiement, les prestations ou la livraison de la marchandise.
(ii) Les autres clauses à ne pas oublier :
Pas de panique ! Vous ne savez concrètement comment les rédiger ? Rendez-vous sur Angelaw pour retrouver notre beau clausier (on en est fier ^^) ou même profiter de l'intelligence artificielle d'Angelaw pour en générer de nouvelles !
Si nous vous posons la question : combien avez-vous de contrats ? Nous sommes certains que vous êtes incapables de répondre. Par expérience, nous savons que les malheureux restent dans le serveur des opérationnels, les pièces jointes de mail ou pire que cela : dans la corbeille (autant vous dire que pour remettre les points sur les “i” à votre cocontractant, ça va être compliqué).
Il faut absolument que les contrats soient rassemblés dans un dossier commun ou un espace partagé : notion, dossier google (même si ça nous fait mal de l’écrire) ou à l’ancienne même si ce n’est pas écolo, c’est-à-dire imprimer les contrats et les compiler dans un joli classeur.
A l’heure actuelle, vous n’en voyez pas l’intérêt : vous n’avez aucun soucis. Pourtant, le jour où vous aurez envie de renégocier vos contrats, les résilier, vérifier le montant des engagements ou leur étendue, vous aurez des difficultés à être crédible si vous comptez appuyer vos demandes avec une version non signée (voire perdue).
Dès que nous rencontrons une entreprise qui gère sa base de contrats mois sur Google, l’équipe Angelaw est à deux doigts de se rouler par terre. Mais, quoi qu’on en dise, Google est une étape parfois suffisante pour débuter. Il permet indéniablement de :
Google n'est toutefois pas un outil juridique donc ne comptez pas sur lui pour créer du contenu, personnaliser ou encore extraire les données essentielles de vos contrats.
Une fois que vous aurez compris que Google Suite n’est pas la réponse pour organiser vos contrats (vous organiser tout court), alors vous vous tournerez enfin vers des solutions plus professionnelles.
En tant qu'ex avocats et directeurs juridiques, vous vous doutez bien que nous en avons testé un paquet ! Pour rester fair play, les outils sont plutôt efficaces puisque la plupart proposent :
Oui, ce sont de belles fonctionnalités... pensées pour les avocats ou les juristes. Autrement dit, les outils sont orientés Legal ops (ce dont nous sommes fans) et performance juridique.
A moins que vous ne souhaitiez embaucher une armée de juristes (et en ayez les moyens...), nous pensons sincèrement qu'une solution plus simple à utiliser est faite pour vous.
Investissez dans un objet qui répond parfaitement à vos besoins. Sinon, c’est comme acheter un appareil photo de professionnel qui restera dans un placard parce que votre smartphone fait tout aussi bien l’affaire.
Nous n’avons pas honte de le dire : nous sommes un CLM pensé pour les non-juristes. Angelaw a été conçu pour répondre aux besoins contractuels des CEO, des dirigeants de PME, des secrétaires généraux, des CFO, responsables d'établissements, commerciaux et offices managers. Plus généralement, nous sommes adaptés à ceux qui manipulent des contrats sur le terrain (et qui ne prennent pas toujours plaisir à le faire) !
Avec nous, vous aurez tous les avantages de Google Suite et des CLM pro, sans en avoir les inconvénients :
Bref, “on vous a compris” ! Pour vous en rendre compte par vous-même, testez notre outil : c’est gratuit.
Avant d'être entrepreneur, Pierre a évolué au sein d'une dizaine de directions juridiques ce qui lui a permis de rédiger, négocier et signer des tonnes de contrats.. mais aussi de comprendre les freins et pénibilités inhérentes à la gestion de contrats.